Ces dernières ont ainsi demandé à la direction du quotidien français de renoncer à cette décision, une décision prise selon elles "en dehors de toute logique d'un plan de redressement global de l'entreprise et de toute réflexion éditoriale sur l'avenir du quotidien".
Par le biais d'un communiqué de presse, l'intersyndicale "s'insurge" en outre "contre des décisions brutales qui, sous couvert des difficultés financières, se traduisent par des suppressions d'emplois et remettent en cause les conditions de vie et de travail des salariés".