Une imprimerie de journaux désaffectée transformée en boîte de nuit


Cette ancienne imprimerie londonienne de journaux accueillera dès 2017 un club baptisé Printworks. Pour préserver l'héritage du bâtiment et son caractère industriel, l'agence à l'origine du projet conserve la disposition des locaux et même certaines machines.

Les locaux sont impressionnants. Cette ancienne imprimerie londonienne de journaux qui s'étend sur six hectares accueillera dès janvier 2017 un nouveau club baptisé Printworks.

Atmosphère industrielle

Dans les locaux de l'ex-imprimerie, qui ont gardé à peu près la même disposition, Printworks pourra accueillir jusqu'à 5 000 personnes. Les fêtards pourront même découvrir quelques-unes des anciennes machines qui ont été conservées dans le lieu.

Une volonté de la part de l'agence LWE, à l'origine du projet, qui souhaitait préserver l'héritage du bâtiment et créer une atmosphère industrielle.

Où étaient imprimés Metro et The Evening Standard…

Plus qu'une boîte de nuit, Printworks se présente comme un "lieu expérimental", dans lequel des espaces seront dédiés à l'art, à la mode, ou encore au théâtre.

Un lieu imprégné d'histoire dans lequel était auparavant imprimé le journal Metro ou The Evening Standard. Rien que pour The Evening Standard, quelque 600 000 exemplaires étaient imprimés chaque jour dans les locaux.

Ce gigantesque bâtiment est situé dans le quartier de London Docklands à Canada Waters. Le site, autrefois propriété du Daily Mail et de General Trust, a été vendu en 2012 à British Land. C'est seulement fin 2013 que les rotatives ont définitivement cessé de tourner.

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